Des capteurs pour la qualité de l'air

La communauté de communes pourrait se doter d’un ou plusieurs capteurs capables d’analyser finement la qualité de l’air avec des résultats accessibles en temps réel à la population.

En effet, nous ne respirons correctement… qu’après la pluie.

En cause :

  • Les pesticides (17 pesticides de synthèse dans le corps d’habitants qui ne mangent que bio et ne peuvent avoir été contaminés que par l’air, dont 8 pesticides interdits depuis des années)

  • Les rejets des véhicules (trop peu de véhicules non polluants)

  • Les rejets des avions, toujours plus nombreux, qui nous survolent

  • Les chauffages émetteurs de particules fines, les industries de la vallée de la Seine et autres

En parallèle, on pourrait :

  • Entourer les parcelles cultivées de haies hautes denses et persistantes afin que les pesticides pulvérisés et ceux dispersés dans l’air lors du semis des graines enrobées de pesticides soient un peu retenus dans les champs.

  • Développer l’idée des citoyens préconisant panneaux solaires et véhicules à hydrogène

  • Trouver des aides pour que les propriétaires puissent équiper leurs cheminées de toitures de dispositifs anti-particules fines (chauffages au bois, au charbon).

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et aussi mettre en place un système d’information sur les épandages agricoles locaux (SMS, mails) afin que les riverains puissent prendre des mesures aux heures/jours annoncés
Ceci implique que les agriculteurs transmettent l’info en mairie, et que la mairie la diffuse quasi en temps réel

Ainsi que des panneaux directement sur les chemins jouxtant/longeant les parcelles traitées le temps que les produits se déposent.

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